Le passageIntérieur du 45 rue Lepic | (Ne pas confondre avec le passage 16, rue Lepic)
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La verrière, qui était encore une véritable verrière dans la décennie 1960, a été remplacée par un assemblage alterné de plastique et de tôle. La belle lumière tamisée par le verre armé est devenue glauque. Encore a-t-il fallu que que la concierge d'alors menace le propriétaire d'abandonner la loge, pour éviter l'installation d'une couverture intégralement " taularde ". La pingrerie du propriétaire a donc été divisée par deux.
Dans les premières années du XXe siècle, c'était un marché ; à l'extérieur : boucherie, alimentation, crémerie, marchand de vin...
Dans les années 1920/1930 les commerces de bouche sont toujours présents mais aussi un marchand de pèse-bébés, un maroquinier, un drapier, un horloger, un marchand de couleurs, une modiste, un dentiste...
Ensuite, à l'intérieur, les locaux sont occupés par des artisans : menuisier, tapissier, couturière, barbier, plombier, fabricant de boutons, éditeur de vitrophanies, de cartes postales en liège et atelier de céramiste, fabricant de "sièges anciens" (il faisait des trous de vrille dans les pieds des fauteuils Louis XV)... |
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Dans les clous
Petites pièces réalisées avec des clous forgés ramassés dans un cimetière de bateaux au cours d'une promenade à Calais et dans la région du Nord avec Jean Hanquet
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| | Araire |
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| | Mariage de la pharmacienne et du polytechnicien |
A l'évidence, pour ce couple idéal, les liens du mariage étaient forgés. On ignore la suite. Qui a le mieux résisté ? La mariée dans son attitude oppressante ou le marié, par ses ruses polytechniques ?
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| Chandelier | |
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